On les voit chaque année :
- Ceux qui subissent la rentrée. Ils replongent tête baissée, acceptent toutes les réunions, répondent à chaque urgence… Résultat : énergie dilapidée en 3 semaines, et un leadership affaibli car perçu comme “disponible pour tout, tout le temps”.
- Ceux qui reprennent la main. Ils posent leur rythme, choisissent leurs batailles, savent dire non sans culpabilité. Leur énergie reste stable, leur impact est lisible, et leur équipe suit le tempo.
La différence n’est pas dans la charge de travail. Elle est dans la gestion consciente de l’énergie et du leadership.
3 clés pour allier performance et équilibre
- Fixez vos limites dès septembre. Bloquez vos temps “haute valeur” (réflexion, stratégie, temps perso) dans l’agenda. Le reste se cale autour.
- Soyez clair sur vos priorités visibles. Votre équipe et votre hiérarchie doivent savoir ce qui est “top 3” pour vous. Sinon, tout devient urgent… et donc rien n’avance vraiment.
- Incarnez le rythme que vous voulez donner. Un manager qui s’épuise envoie un message implicite : “l’épuisement est normal”. Un leader qui gère son énergie inspire confiance et durabilité.
En transition ? C’est le moment clé
Si vous êtes en retour d’expatriation, après un long congé ou dans une mobilité interne, la rentrée est encore plus critique :
- poser votre posture,
- montrer votre capacité à prendre du recul,
- bâtir des alliances solides dès le départ .
C’est exactement ce que nous travaillons dans le coaching Transition professionnelle : un cadre clair pour retrouver votre énergie, votre impact et votre trajectoire.
Un outil simple pour cette semaine
Testez ce rituel :
- Chaque matin : notez vos 3 priorités du jour (pas plus).
- Chaque soir : notez vos 3 sources d’énergie (ce qui vous a nourri).
En une semaine, vous verrez déjà des patterns. Et surtout, vous reprendrez la main sur votre rythme au lieu de le subir.
Partagez-moi votre bilan de la semaine et voyons ensemble comment l’adapter à votre contexte
PS : Un de mes clients me disait après un retour de congé long : “Je pensais devoir prouver que j’étais à 200 %. En fait, c’est en posant mes limites que j’ai gagné le plus de respect.”
